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In communication, the key to trust in science

In communication, the key to trust in science

« Il importe de prendre des decisions les plus éclairées possible, mais comment le faire when l’information scientifique is mise à mal în raison des faussses news et de la désinformation? », s’alarmait le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, en ouverture du recent Forum organized by le Fonds de recherche du Québec sur « La confiance dans la science : une question de communication? ».

87% of Americans think scientists act in the public’s best interest. Only 45% think they are good communicators, as they might have been recently POLL Go Pew Research Center.

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Les scientifiques must learn to communicate better? Sans doute, mais pas seulement. « Les gens veulent des réponse rapides et nous, les scientifiques, nous we need to take le temps pour y réfléchir. Ce n’est donc pas facile d’arrimer les deux », convient le professor au Département des relations industriales de l’Université Laval, Simon Coulombe.

Il constate que la jeune generation se tourne vers les réseaus sociaux pour trouver des réponses, ce qui peut nuire à sa santé, physique et mentale. « Comment aider les personnes who are more susceptible to croire des choses fausses? Ils doivent apprendre à discerner ce qui est solide ou pas and we sans doute have a role à jouer. »

In the presence of nombreuses personnes au micro who remettaient en question the management of the pandemic testified by this reality.

Communicator, vulgarizer, ex

Les scientifiques sont du digt pour leur manque de compétence – ou d’intérêt – en matière de vulgarisation. Il fut un moment où les freins se multipliaient pour éteindre l’intérêt à faire more de communication scientifique: lack of training, de valorisation des initiatives de vulgarisation, de retribution par les institutions du temps passé à ce type d’activités…

Mais ce n’est plus le cas et la jeune génération se montre pruite enthousiast. « What are the majority of students, more than 80%, who participate in our activities consisting of short presentations of their scientific works. On les forme, on their donne des conseils et un guide d’information et on leur rappelle that cela doit être avant tout du plaisir », explains the general manager of BistroBrain, Alexis Thibault.

Since the pandemic, there has been progress in the valorization of scientific communication within the institutions as well. « On doit traduire ce qui se fait dans les labos et on doit faire un bout pour sutenir ces initiatives. Nous avons une responsabilité sociale, comme institution, de faire aprèsire la science », says Jean-Pierre Perreault, vice-rector à la recherche et aux études supérieures of the Université de Sherbrooke.

Les scientifiques au sein des universités often need to be accompanied, adds Sophie Langlois, directrice générale au Bureau des communications et des relations publiques de l’Université din Montréal: « il faut accepter de faire la « game » des médias. Ceux qui acceptent de jouer ce jeu-là, on leur donne des ateliers de formation et des trucs : parler simplement, comme à sa mère par exemple. » Parce que les médias privilegient often a clip, a courte phrase.

« Il ya peu de place pour les nuances et on va elimirar les notions complexes et importantes moins. However, we will work on the interaction with the scientist and the helper in the mise en récit de la science », added the former Radio-Canada scientific journalist, Chantal Srivastava, depuis peu employee of the University of Montreal.

A place for dialogue

Reste qu’en parallèle, one observes sur la place publique et sur les réseaus sociaux an increase in hostility and opinions that are radicalized, creating the impression of a general crisis of confidence.

“La confiance, c’est complex et ça depend du contexte. Les sciences ne sont remises en cause, mais souvent convoquées, car on leur accorde du crédit et on va vouloir en discusser », soutient le professeur au Département de communication sociale et publique de l’Université du Québec la Montréal, Alexandre Coutant.

Alors, serait-ce une question de mauvaise communication, ou un manque d’un espace pour le dialogue?

“Il faut peut-être démocratiser la formulas de vulgarisation”, suggests the professor à l’École nationale d’administration publique, Martin Goyette. Il pense en cela à son propre cas: ayant mené des recherches sur les jeunes et l’itinérance —plus du tiers des jeunes avec un parcours étendu en protection de la jeunesse (DPJ) they know au moins un épisode d’itinérance— il se fait regularly accompany par certains de ces jeunes lorsqu’il parle de ce qu’il fait. “Les jeunes doivent prendre la parole bien avant les scientifiques, ce sont les experts d’expériences”, adds the cotitulaire of the Chair réseau de recherche sur la jeunesse du Québec.

« Les décideurs décident par des chiffres et les jeunes issued from services from the DPJ consumption 40 times plus des ressources pour les itinerants » care les autres jeunes. « Mais au delà du chiffre, il ya toute une nuance et des subtilités pour rendre account de cette complexity. Les jeunes peuvent nous y aider ».

Alexandre Coutant is of the opinion that there is a lack of space for a kind dialogue, exchanges and proactive listening to divergent opinions that lead to scientific questions.

Il pense qu’il importe d’accepter de rencontrer et de discusser avec le public. « Je crois en l’existence d’une collective intelligence et en la bonne volonté des gens. Il faut les accompagère en highlighting les erreurs et prendre le temps de discuster. »

In this « space of collective curiosity » such as the appeal, the import of maintaining your trust in misant in the competence of experts, probité and the common good. Il faut aussi not to hijack social networks.

“Networks offer the opportunity to have a democratic discussion, with all voix and only the scientific ones,” thought the seeker.

Il import, for example, de miser sur l’écoute et la participation de ceux care vivent les situations etudiées, tels que les partenaires desiring reprendre du pouvoir sur leur maladie.

“C’est coherent avec mes valeurs, on veut réducer les inégalités sociales, c’est naturel de mettre au cœur de nos pratiques les citoyens vulnerables économiquement”, note la titulaire de la Chaire de recherche sur la réduction des inégalités sociales de santé de santé University of Québec in Montréal, Janie Houle. “Ils sont implicates dans toutes les étapes”, note-t-elle.

Au même titre que les students, these search pairs are involved in the governance of the chair, participate in the award of the decision, in the research, in the rédaction and in the valorization of the research papers. « Ils rendent la recherche meilleure et utile et cela éclaire ce qu’ils vivent. C’est comme cela que l’on bâtit une relation de confiance et de reciprocity », said Pre Houle.

Cela s’avère même indispensable à ses research projects, tel Vers une société plus justequi vise à diminuer ces prejugés et à proposer des améliorations aux politiques publiques en matière de reduction des inégalités sociales de santé.

Accès aux soins de santé, loyers modiques: the spaces for discussion will therefore be favored to deploy les questions et les pistes de solution together. “Et on a même created a space for pairs, where they form between themselves and they can talk about what they live,” added Pre Houle. A multi-level communication privileged for horizontal exchanges and listening: it can be a solution for rebuilding clues with the public.