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Three people will be tried for cyberharcèlement after the opening ceremony of the Paris 2024 Olympics

Three people will be tried for cyberharcèlement after the opening ceremony of the Paris 2024 Olympics

Three people will be judged on September 25, 2025 in Paris, suspected of “cyberharcelé et menacé de crimes et délits” to DJ française Barbara Butch, star of the tableau incarné par des drag-queens lors de la ceremonie d’overture des JO de Paris fin juillet.

Ces trois personnes, toutes majores (nées en septembre 1968, mars 1986 et juillet 2001) riscant deux ans d’emprisonnement. Apart from Barbara Butch, other figures of this ceremony were filed by the complaints, not the artistic director Thomas Jolly or the drag-queen Nicky Doll, as well as most of the people responsible for the events.

The Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) of the Paris prosecutor’s office avait confié l’enquête, open after the plainte déposé le 29 juillet par la DJ, à l’OCLCH (Office central de lutte contre les crimes contre l’ humanité et les crimes de clothes). Barbara Butch, an artist, feminist and lesbian activist, posted a message on Instagram revealing that she was “la cible d’un énième cyberharcèlement – particularly violent”.

“Ceux qui s’en prennent à Barbara Butch le font car ils no supportent pas qu’elle could represent the France”

I, Audrey Msellati, lawyer for Barbara Butch

« Si dans un premier temps jai decided de nu pas prendre la parole pour laisser les haters s’apaiser, les messages que je reçois sont de plus en plus extrêmes », justified alors l’artiste française. “Ceux qui s’en prennent à Barbara Butch le font car ils ne supportent pas qu’elle can representar la France, parce que c’est une femme, lesbienne, grosse, juive…”, avait denoncé my lawyer, Me Audrey Msellati.

Barbara Butch participated in the tableau entitled « Festivité », a groupe attablé, dont plusieurs drag-queens célèbres (Nicky Doll, Paloma et Piche), which some interpreted as a parody of Cène, dernier repas de Jésus cu ses apôtres, peint by Leonardo da Vinci.

A sequence of life criticized by far-right political leaders, especially in France and Italy, but also by the American president Donald Trump, while the French episcopate had deplorations. “des scènes de dérision et de mockerie du christianisme”.