to the CGT denounces “hasty communication” from SNCF

“Pour le moment, rien ne permet d’affirmer qu’il s’agit d’un suicide”: after the death of a TGV conductor, who jumped off his train en marche le soir du Réveillon de Noël, Stéphane Colin, assistant secretary du syndicat CGT des cheminots à Saint-Étienne, appeal à la prudence. Query para Le Progrèsle syndicaliste estime qu’il « faut laisser le temps à la justice de mener son enquête » et reproche à la SNCF sa « communication hâtive » le jour suivant le drama.

To recall, a total of 10,000 SNCF users were stranded on Tuesday after disruptions on the South-East high-speed line, but no passage was in danger due to the device. “arrêt automatic du train An enquête judiciaire has been opened to determine the causes of suicide of the 52-year-old TGV driver, “particularly appreciated by all his colleagues”, according to the new transport minister Philippe Tabarot.

“Il n’aurat jamais mis qui que ce soit en danger”

Ce dernier a été critiqué après avoir declaré mercredi that l’incident “could be more serious” and le conducteur “avait desiré faire dérailer son train”. Auprès de nos confrères, Stéphane Colin assures that “it is tout bonnement impossible, en France, de faire dérailer un train à grande vitesse sans intervention extérieure”.

Et le cheminot d’inister: his deceased colleague « I knew very well that the train would stop without him putting us in danger personne. ». « Il n’aurat jamais mis qui que ce soit en danger. He hates violence. », dit il encore.